Mauvaise nouvelle, Marijo s'en est allée définitivement

Marijo était du monde de la marche.
Du Moulin de la planche, la Saint Rémoise préparait la camionnette qui allait suivre "les russkov" jusqu'à Colmar et venait sur les circuits qualificatifs.
Marijo nous a tant et tant encouragé à continuer d'avancer contre vents et marées et ne rien lâcher !
Afin de se rendre compte de ce qu'un marcheur de grand fond devait et pouvait endurer, une année où le circuit qualificatif au grand Paris-Colmar, était établi autour de lac Kir de Dijon, Marijo a réalisé 24 heures de marche. Ainsi elle avait acquis de "où et quand intervenir" auprès du compétiteur lors de ses moments de faiblesse.